Denise Mina, Sanctum

Par Gilles


Quatrième de couverture :

Glasgow. Années 1990. Accusée d’avoir assassiné Andrew Gow, un tueur en série surnommé l’Ecorcheur du fleuve, la psychiatre Susie Harriot encourt la perpétuité. Comment cette éminente spécialiste a-t-elle pu commettre un tel acte : sectionner la langue de son patient avant de le laisser se vider de son sang ? Pour Lachlan, son mari, il s’agit d’une erreur judiciaire.

Décidé à prouver son innocence, il découvre peu à peu des zones d’ombres qui ébranlent ses certitudes. Mais impossible de renoncer à affronter la vérité. D’autant plus que si Susie n’est pas coupable d’un meurtre, elle l’est peut-être d’une faute encore plus terrible. Qui exige aussi que justice soit faite.

Mon avis :

Sanctum est un roman policier de très bonne facture mais qui n’apporte rien de nouveau au genre, il reste très classique en fait. J’ai bien aimé ce livre, les personnages sont attachants, l’action est rondement menée, ponctuée de petites pointes d’humour. Le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer. Ce qui me cause problème c’est qu’à force d’accumuler les romans de ce genre j’en deviens de plus en plus exigeant, et j’ai de plus en plus de mal à me contenter d’un polar classique. Mais, à l’occasion, je lirais d’autres ouvrages de Denise Mina.