Après le célèbre “I have a dream” de Martin Luther King, signature de leur campagne printemps été 2008, Meltin Pot revient sur le Vieux Continent et emprunte à Descartes son “Je pense donc je suis”, tout en gardant le thème du rêve. Cela aurait pu donner “I dream therefore I am”, mais on a préféré faire simple : “I dream. I am”. Je ne résiste pas à la tentation de préciser que cette figure consistant à supprimer les liens logiques dans un énoncé s’appelle l’asyndète (j’ai appris ce mot tout récemment en lisant Roland Barthes).