Dans la dernière revue À bâbord paraît le manifeste des féministes canadiennes âgées de 14 à 35 ans.
Réunis entre elles plus tôt cette année, leurs buts étaient de s’autocritiquer et discuter de l’avenir du féminisme.
Dans ce manifeste aux trop nombreuses revendications, les jeunes féministes oublient d’y inclure une action capitale. Changer la manière d’aimer des jeunes femmes. Elles souhaitent plus d’amour-propre pour la femme, en oubliant que l’acte d’aimer a besoin de rénovation.
« Moins de poil, plus de gueule » : c’est la devise de plusieurs jeunes femmes en amour ou célibataires.
Un gars exclu de cette devise par son poil mal rasé ou sa gueule trop fermée est un allié de moins dans la lutte des femmes.