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2012 comment préparer la France à l'avenir

Publié le 19 décembre 2008 par Gilles74

La campagne  présidentielles 2012 débutera en 2011, c'est à dire dans trois ans à peine.
Laps de temps réduit pour élaborer des programmes en adéquation avec les besoins réels du pays.
la fiche jointe ci dessous publiée en novembre 2005 à l'ouverture de ce blog dresse suite à deux précédentes fiches une liste de propositions de bon sens repris par de nombreux internautes lors de la campagne 2007.
Certaines mesures proposées en 2005 semblent déjà être mises en oeuvre par le gouvernement.

L'aide  aux  PME, les  pôles  de  compétitivité  ou Clusters,la  réforme d'admission  aux  classes  préparatoires, la  création  d'internats  d''excellence pour  l'égalité  des  chances, l'accompagnement  théorique  des  PME  à l'export, la  mise  en place  d'un  service  citoyen  ouvert  à l'international,lma  réforme universitaire plus  en phase  avec  le monde  du  travail, la création  d'une  banque  d'état mixte  privée pour  le  financement  des  porteurs  de projets  industriles  seuls  capables  de  garantir  les  emplois  qui remplaceront  ceux  que  nous  sommes  condamnés  à perdre  au  cours  des 5 prochaines  années, etc....

souhaitons que d'autres propositions inspirent non seulement nos gouvernants mais tous ceux qui aspirent aux plus hautes fonction de l'état en 2012.

rappel d'une  fiche  du 18.11.2005

Comment sortir le pays de l'impasse piste possibles...

      COMMENT SORTIR LE PAYS DE L’IMPASSE
   Il faudra beaucoup de courage et un sens aigu de l’intérêt commun (c'est-à-dire de tous) aux hommes politiques pour sortir le pays de l’impasse où il se trouve.
   Avant d’aborder ou d’esquisser le moindre programme plusieurs facteurs devront être mis en exergue et rester présent à l’esprit de ceux qui entreprendront les réformes de fond indispensables de l’état et du pays.
      Facteurs déterminants
   Ces facteurs devront être compris de tous et surtout acceptés ce qui imposera une phase d’explication et de pédagogie au niveau national.
   1/  Une évidence la France ne doit pas dépenser plus qu’elle n’est capable d’en disposer. Au départ du Général De Gaule une gestion de « bon père de famille » s’est soldée par un déficit nul de l’état.
   Le budget de l’état qui représente environ 20% du PNB  est en déficit annuel de 25% depuis 1982,
    2/  Toutes les mesures gouvernementales doivent viser au plein emploi.
   3/  tous les jeunes de moins de trente ans doivent impérativement être insérés dans le monde du travail dès la sortie de leur scolarité.
    4 / le salaire minimum doit être garanti à hauteur de  1500€ et non 847€ (7 millions  de  français)
   5/  les fonctionnaires n’auront pas à pâtir dans leur déroulement de carrière des incohérences de l’état et des mesures prises par les gouvernements successifs.
   Chacun pourra s’il le souhaite servir l’état jusqu’au terme de son contrat et bénéficier des conditions de retraite acquises mors de son admission au sein de la fonction publique.
   En contrepartie tout fonctionnaire servira là ou l’état le jugera le plus utile au pays dans la phase de transition qui ne pourra excéder 10 ans.
   6/    L’explication et la recherche du consensus sont des impératifs
Un audit national est indispensable, les conclusions qui en seront tirées feront l’objet d’un livre blanc à l’identique de ce qui avait été fait sous Michel ROCCARD et finalisé avec courage par Jean-pierre RAFARIN
   L’adhésion du peuple est incontournable pour réussir tout changement dans notre pays.
      Les PISTES POSSIBLES (non limitatives)
   1/  Toutes les mesure ne pourront l’être qu’avec un consensus national, validé par un référendum.
   Seul le peuple peut et doit décider de son avenir.
   Il s’agira en fait d’imaginer un véritable nouveau contrat social.
   2/ La réorganisation de l’état nécessitera une fonction publique qui ne pourra en aucun cas excéder 10% de la population active du pays.
   3/  L’économie de marché est la seule de nature à créer les richesses indispensables à satisfaire les besoins du plus grand nombre.
   L'intérêt social et l’intégration des plus faibles sont la contrepartie naturelle de cette évidence.
   4/  L’entreprise, création et accompagnement fera l’objet de l’attention prioritaire de tous les services de l’état.
   5/  Les services publics ne doivent plus être considérés comme justificatifs au maintien des emplois publiques.
   Seule la qualité du service rendu au public pourra guider le choix du lesgislateur ou des édiles.
   La mise en concurrence pourra et devra systématiquement être recherchée dans l’intérêt du public.
   6/  La politique du plein emploi est la contrepartie sociale à la quelle doit souscrire le patronat, les syndicats et les représentants de l’état.
   7/ L’actionnariat social et participatif doit être inscrit dans la loi.
   Si le capitalisme est et restera la clé de voûte de notre système économique il appartiendra aux législateurs dans l’esprit des réformes entreprises par le général De Gaule de rendre les salariés propriétaires d’au moins 25% du capital de toute société française ou étrangère implantée sur son territoire.
   De ce fait aucune mesure de management interne ne pourra être prise sans l’assentiment des salariés ou de leurs représentants.
   Ces 25% du capital dit de participation resteront en tout état de cause la propriété des seuls employés de l’entreprise.
   La participation définie au sens où les salariés seront associés aux décisions existentielles d’une structure de production sera de fait une réalité.
   Les bénéfices réalisés par l’action de l’entreprise ainsi d’ailleurs que les pertes profiteront aux salariés car ils auront été associés aux choix.
   (Dans le cas des EURL les 25% appartiendront au syndicat majoritaire dans la branche d’activité)
   8/   L’inscription syndicale sera rendue obligatoire dès l’embauche.
   9/     Les impôts directs seront prélevés à la source
   10/ Aucun élu ne pourra briguer plus de 10 ans de mandat au niveau local et plus de 10 ans au niveau national.
   11/ par équité de tous les citoyens tout fonctionnaire élu devra démissionner de la fonction publique.
   12/ Service National citoyen
   Un service national citoyen  sera réactivé avec des objectifs différents.
   Il concernera tous les jeunes français entre 18 et de 20 ans et sa durée sera fixée à un an sans aucune exemption. Afin d’assurer la mixité sociale de tous les jeunes Français avec  un  stage  à l'étranger  systématique  afin  de  maîtriser  une  langue  étrangère
   Après une période de formation  initiale militaire et civique de quatre mois
Les jeunes auront alors le choix :
   121/ de poursuivre au sein des formations militaires (100 000) au sein de la gendarmerie (50 000) de la police nationale (50 000)
   122/ de rejoindre par le biais des volontariats internationaux l’accompagnement des entreprises françaises à l’export. Ces postes ne seront pas limités aux seuls étudiants titulaires de formations à bac plus cinq
   Placés sous la responsabilité des postes économiques de toutes les ambassades Françaises ils armeront les alliances françaises ainsi que les postes d’accompagnement des PME à l’export. (100 000 postes) la durée des contrats pourra être portée à deux ans ce qui permettra leur insertion au sein des entreprises qui les auront accueillis pour développer leur implantation à l’export.    Le MEDEF aura la responsabilité en liaison avec le ministère des affaires étrangères de proposer les postes au sein des PME prioritairement et des grandes entreprises.
Le choix des candidats s’effectuera en tenant compte des intérêts des sociétés mais aussi en fonction des jeunes eux-mêmes sans discrimination.
   123/ De rejoindre l’encadrement d’ONG pour agir hors des frontières nationales
Une formation complémentaire nécessaire de 4 mois (qui pourra partiellement débuter lors de la phase de formation initiale)  imposera alors un complément de contrat de 6 mois pour assurer une présence effective dans les postes de 10 mois au minimum.
   150 000 postes par an.
   124/ de rejoindre l’encadrement d’associations à vocation sociale sur le territoire national. Ou certains ministères
   Education nationale   100 000 postes
   Ministère de la santé  100 000 postes 'encadrement  au  sein  des  maisons  de  retraite)
   Associations diverses 100 000 postes
   125/ Objectifs
   Formation civique de tous les  citoyens
   Mixité sociale et intégration de tous les jeunes français
   Formation de base de tout futur combattant (alimentation des réserves dans la perspective éventuelle de la création d’une garde nationale qui serait chargée de la défense opérationnelle du territoire  dans le cadre possible de la lutte anti-terrorisme.)  
   Rayonnement de la France à l’extérieur, ONG et alliances françaises
   Ouverture massive vers les marchés potentiels de demain à l’export
   Accompagnement des scolaires par tutorat au sein des collèges et des lycées   (avec  échange  nombre  pour  nombre  de  répétiteurs  étrangers)
   Accompagnement des personnes âgées et des malades au sein des structures déficitaires en personnels
   Préformation au sein de la défense de la gendarmerie et de la police nationale.
   Préparation à l’insertion professionnelle
   13/ Baisser les dépenses et augmenter les recettes de l’état
   Dans la phase transitoire d’adaptation de l’état à ses nouvelles structures (10% de la population active) d’une durée de 10 à 15 ans    Il conviendra avec initialement les mêmes dépenses d’autoriser le détachement de fonctionnaires au sein des PME de moins de 20 personnes.    Le volume souhaitable serait de 100 à 150 000 fonctionnaires par an.
   Toujours fonctionnaires ces derniers conserveraient leurs statuts et les avantages liés à leur état. Ils auraient pour les plus jeunes la possibilité de rejoindre leurs corps d’origine ou d’opter pour un détachement définitif au sein de leurs entreprises d’accueil.
   Ces détachements initialement limités aux PME de moins de 20 personnes auraient pour effet immédiat une augmentation du chiffre d’affaires de la quasi-totalité des entreprises concernées.
   La contrepartie financière de la gratuité de ces cadres serait l’embauche (nécessaire) d’au moins deux nouveaux salariés après 8 mois de présence du cadre si les objectifs sont atteints  et en tout état de cause l’embauche d’un jeune de moins de 25 ans.
   14/ Banques d’investissement
   Création de banques d’investissement dédiées à la création d’entreprises et à l’accompagnement des pépinières existantes.    Les conseils généraux mettront en place des fondations de développement  mixtes publique privée qui  disposeront de leur autonomie financière.    Ces fondations auront pour rôle d’accueillir des inventeurs ou des porteurs de projets économiques. De leur prêter  assistance, de leur trouver les financements nécessaires au démarrage de l’activité économique, de leur garantir 80% de la propriété du capital de leurs sociétés dès lors qu’elles s’avéreraient rentables    Les 20% du capital résiduel seraient définitivement acquis par ces fondations pour l’amortissement des frais engagés et l’accompagnement des nouveaux projets seuls garants des futurs emplois du pays.    La création de telles structures dédiées totalement à l’accompagnement d’inventeurs et de porteurs de projets permettrait sans doute le retour de nombreux diplômés français qui ont dû s’expatrier à l’étranger en particulier aux Etats-Unis .Le nombre de directeurs recherche et développement d’origine française au sein des laboratoires des plus grands groupes est édifiant à cet égard. Leur retour et l’excellence de leur compétence sont une des clés des emplois français de demain si les jacobins de notre Etat centralisé acceptent de voir et surtout  de comprendre les réalités du monde.
   15/ Investissements en recherches et développement
   Si l’impôt sur la grande fortune doit être conservé il faut alors le rendre profitable à tous.
   Les personnes soumises à cet impôt devront se voir offrir le choix suivant
   Soit payer cet impôt
   Soit obtenir un allégement total en investissant ces sommes auprès des fondations décrites au paragraphe précèdent
   16/ Marchés publics
 30% des marchés publics d’état seront prioritairement affectés aux PME de moins de 100 personnes. Procédure identique à celle déjà pratiquée au sein des grandes démocraties occidentales ainsi qu à L’ESA ‘(Agence spatiale européenne) depuis de nombreuses années.
   Pour éviter les appels d’offres dévoyées une présélection sera effectuée en amont et la mise en concurrence s’effectuera sur internet avec possibilité pour les PME de s’associer à de grands groupes pour obtenir en partenariat ce type de financements. (L’ESA dispose en interne d’un tel type de procédure depuis des années à la satisfaction générale)
   17/ Régime de sécurité sociale
   En revenant aux principes qui ont guidé sa création à la fin de la dernière guerre et dans un souci d’équité  les régimes de la sécurité sociale seront tous refondus dans un régime unique qui offrira les mêmes prestations  aux citoyens français.
   18/ Assurance chômage
   L’assurance chômage sera refondue complètement afin d’en faire bénéficier tous les citoyens de manière équitable.
   Tous les bénéficiaires percevront un montant identique qui sera modulé en fonction du nombre de personnes à charge, sa durée sera limitée dans le temps à 12 mois maximum.
   Cette limitation sera assortie de mesures d’accompagnement personnalisé sous traités auprès des meilleurs cabinets de recrutement ce qui imposera la suppression de l’ANPE dont l’existence est en contradiction non seulement avec les pratiques des autres pays membres de l’union Européenne mais avec sa propre législation.
   19/ Reclassement des cadres
   50% des cadres au chômage se trouvent en Île de France, après une période de trois mois maximum, tous les cadres rejoindront obligatoirement  une PME de leur choix avec un dispositif équivalent à celui mis en place par le conseil régional d’Île de France DYNAMICADRES
   Placé au sein d’une entreprise manquant d’encadrement le cadre qui percevrait ses indemnités de chômage aurait pour objectif d’augmenter le chiffre d’affaires de sa société d’accueil pour permettre éventuellement  à son employeur de l’embaucher à l’issue de 9 à 12 mois.
   Accompagné en parallèle par un consultant d’un cabinet de recrutement il pourrait recevoir une formation complémentaire visant à l’adapter à son nouveau poste de travail ou rechercher une nouvelle société d’accueil à l’issue de son stage.
   Le maintien à l’emploi est la seule solution au maintien des compétences et surtout à une lutte efficace à la déstructuration mentale de toute personne écartée du monde du travail. C’est en effet la cause principale du refus d’embauche des chômeurs de longue durée.
   20/  INSERTION des jeunes sur le marché du travail
   A l’issue de leur service national citoyen tous les jeunes qui n’auront pu obtenir un emploi seront à l’identique des cadres chômeurs placés dans une entreprise (PME) de leur choix. (En fonction des postes disponibles)
   Ces postes seront le corollaire du placement des fonctionnaires détachés au sein des PME soit 150 000 par an avec la création de 150 à 200 000 nouveaux postes par an
   Ils bénéficieront alors d’une prolongation de contrat de leur service national jusqu’à l’obtention d’un contrat CDI au sein de leurs entreprises d’accueil. (Durée maximale 6 mois)
   21/ ADAPTATION au changement
   Pour faire face aux évolution inévitables du monde du travail et permettre à chacun de disposer d’une employabilité certaine a cours de sa vie professionnelle le MEDEF et les partenaires sociaux imposeront un suivi individualisé pour chacun des salariés de toute entreprise y compris les PME de moins de 20 personnes
 Un bilan de compétence devra de droit être proposé au moins tous les 5 ans ainsi que les formations nécessaires à la mise en conformité des conclusions de ces bilans « professionnels »
SUITE   FICHE n° 02  

21.11.2005

Fiche N° 02 Pistes possibles suite

      SUITE DES PISTES POSSIBLES

 

   22/ Egalités des chances dans l’enseignement

 

   Nous avons assistés depuis de nombreuses années à la création de lycées de banlieues qui n’offrent et surtout n’offriront jamais les mêmes chances que ceux du centre des grandes villes pour une raison très simple qu’il n’existera jamais la mixité sociale.

 

   Il importe donc d’imaginer ou mieux encore de recréer dans l’esprit de Napoléon les Prytanées et les Lycées tels qu’ils avaient été créés à l’origine.

 

   Des quatre anciens Prytanées dont Henri IV et Louis le grand  il en subsiste encore un, installé à la Flèche dans la Sarthe.

 

   Internat qui bénéficie d’un double encadrement militaire et civil corps professoral excellent détaché de l’éducation nationale.

 

   Tous les élèves y  sont soumis  aux mêmes règles, un uniforme masque toutes les différences sociales, la hiérarchie ne s’établit qu’en fonction des résultats scolaires et des qualités humaines dont certains savent faire preuve.

 

   D’autres établissements de même nature comme les Lycées militaires d’Aix en Provence, d’Autun  de saint cyr l’école prouvent depuis des décennies au travers des résultats obtenus par les réussites professionnelles de leurs anciens élèves et plus particulièrement ceux issus des classes les plus modestes, la pertinence de ce type d’établissement républicain

   A partir de cette idée simple et monsieur FILLON peut en témoigner pour bien connaître ces établissements, serait il possible de créer avec l’éducation nationale ce genre d’établissement qui auraient vocation à mixer les populations du moins pour les meilleurs afin de leur donner s’ils travaillent les mêmes chances que les élèves des meilleurs lycées Parisiens.

   23/ Instruction militaire obligatoire

   Dans la perspective de la montée en puissance du service national citoyen, l’instruction des élèves des grandes écoles devrait être réactivée avec sans doute un contenu différent en fonction des filières qui seront choisies.

   Cette instruction obligatoire de nos élites aurait pour but de fournir l’encadrement indispensable à la montée en puissance du service national civique.

   Tous les étudiants autorisés à poursuivre leurs études au-delà de 20 ans y seraient également astreints pour les mêmes raisons.

   24/ Ouverture des marchés à l’export

 

   L’accroissement des richesses du pays et par conséquent ses possibilités de mieux en répartir les  bénéfices passe par la conquête des marchés de l’export.

 

   Pour les raisons évoquées précédemment il n’existe pas de structure d’accompagnement de nos PME d’une efficacité équivalente à tous les autres pays européens.
   Il est donc impératif que l’Etat corrige  ce retard impardonnable que les entreprises françaises connaissent depuis des dizaines d’années.


   Nous ne sommes plus sous COLBERT ni même sous le président POMPIDOU, le monde a changé et change encore plus vite aujourd’hui, nous ne sommes plus seuls.
   Pour prendre notre place il est indispensable que les hauts fonctionnaires de notre pays acceptent l’idée que notre développement  ne passe plus par leurs fourches caudines ni surtout par leurs rivalités internes stérilisantes pour notre commerce extérieur.

   Seul le MEDEF accompagné et soutenu par tous  les services de l’Etat peut prendre cette charge à l’identique des pratiques des autres grands pays y compris nos partenaires européens.

 

   Sans création d’un nouveau ministère le MEDEF et s’ils le souhaitent de grands syndicats pourront prendre en charge cette nouvelle structure qui pourra et devra disposer en direct  de la gestion et l’emploi des jeunes français du service national civique

 

   100 000 postes en volontaires internationaux (PEE des ambassades)
   150 000 postes détachés auprès des ONG françaises de par le monde.
   Dont 15000 élèves ou étudiants (IMO) pour en assurer l’encadrement

 

   25/  Rayonnement de la France

 

   Notre vieux pays n’est jamais aussi grand que lorsqu’il porte un message universel.
   Il nous appartiendra avec notre nouveau service national civique et plus précisément avec les deux formes spécifiques ONG et volontaires internationaux de participer en force numérique auprès de nos anciens Pays frères Africains.

 

   Notre rôle s’inscrira dans l’aide à apporter dans le développement de leurs économies et du soutien à fournir aux multiples ONG déjà présentes.

 

   Il appartiendra alors à nos dirigeants d’entraîner d’autres pays européens dans cette démarche qui de toute façon d’une manière ou d’une autre s’avérera indispensable.

21.11.2005

suite pistes possibles

  

   26/  Marchés extérieurs    En complément du paragraphe 24, la structure d’accompagnement des PME Françaises à l’export pourrait utilement s’inspirer des structures Anglaises Italiennes ou Allemandes.
   Si aujourd’hui le parrainage des PME françaises se limite à l’accompagnement de moins de 300 PME par an, les structures de nos voisins parviennent à plusieurs milliers d’actions annuelles.(20 à 30 000)    Si d’autres pays utilisent ces procédures avec le succès que nous connaissons pourquoi pas nos entreprises ?
  
   Cette structure ne peut être armée que par le MEDEF et non les services de l’état et ce pour deux raisons majeures. Les rivalités internes entre nos ministères et surtout l’éthique de notre fonction publique qui ne peut accepter que des moyens publics puissent permettre à des entreprises privées de se développer. (Contrairement aux pratiques de toutes les grandes démocraties occidentales) 
   L‘accompagnement logistique, commercial, juridique sur 2 ou 3 ans sont les seules conditions du succès ainsi que la mobilisation de tous les acteurs qui doivent concourir à aider nos entreprises dans leur conquêtes de nouveaux marchés.   Pour ce faire la structure d’accompagnement à l’identique de nos voisins et mieux encore de nos amis Japonais devra pouvoir offrir GRATUITEMENT à nos PME les études de marché ainsi que l’accompagnement et l’hébergement sur site pendant une période pouvant aller jusqu’à 24 ou 36 mois.   Si sur le fond nous arrivions à combler notre retard par la conversion mentale de notre haute fonction publique il conviendrait  aussi sur la forme de disposer d’une politique d’accompagnement global visant à obtenir des résultats concrets c'est-à-dire des parts de marché où nous sommes souvent les plus performants.    27/  L’ouverture du capital à tous les salariés
   Le dernier congrès socialiste montre à l’évidence que ce choix au grand regret de monsieur Michel ROCCARD n’a toujours pas été tranché.
   Que penser des élites de ce pays qui refusent les fonds de pension à nos salariés et qui ont ouvert sous MITTERAND le capital de toutes nos grandes sociétés aux fonds de pensions anglo-saxons.
Créer des fonds de pension salariés avec une ponction directe sur les salaires comme le pratiquent les Suisses ce qui offrirait l’avantage de faire bénéficier à tous nos salariés du bénéfice du développement de leurs entreprises et de leur assurer un complément de retraite qui s’avérera indispensable dans les 30 prochaines années. (investissements uniquement auprès  des  fonds  français)
   Ces sommes pourraient par ailleurs alimenter directement les fondations d’investissement décrites dans un paragraphe antérieur condition de l’adaptation de nos moyens de production aux changements inévitables que va connaître la planète avec l’émergence dans les 10 prochaines années de la Chine et de l’Inde.
   Que penser encore de nos élites qui depuis plus de 20 ans avaient déjà créé des fonds de pension au bénéfice exclusif de nos fonctionnaires par le truchement de la pré fond  dont d’ailleurs seuls le hauts fonctionnaires pouvaient  en bénéficier.        Le travail de nos salariés doit avant tout bénéficier à nos salariés et non aux salariés américains qui ne disposent que de cet outil pour assurer leurs retraites.Modifier la législation par la participation citoyenne décrite dans un paragraphe antérieur.   Nous devons nous réapproprier notre destin en agissant sur plusieurs leviers.   Il n’est que de constater où les PDG de ces grands groupes doivent aller présenter leurs bilans pour comprendre que nous ne maîtrisons plus notre avenir et que nous sommes depuis les années 80 sous contrôle des USA en particulier.   Si le général de GAULLE pouvait dire que la politique de notre pays ne se faisait pas à la corbeille de la  bourse, nous détenions alors plus de 80% du capital de nos grandes sociétés, que dire aujourd’hui quand le contrôle de nos plus grands groupes est aux mains de ces fonds de pension si décriés par ailleurs.   Il est temps que nous comprenions dans quel monde nous vivons. L’économie de marché doit être reconnue par le peuple français comme le fondement de notre développement économique et social.

21.11.2005

 suite des propositions liberté égalité fraternité mais aussi complémentarité, la place des femmes dans la société

     28/ Liberté égalité fraternité mais aussi complémentarité

   A nos devises républicaines il convient d’en rajouter une autre plus actuelle la complémentarité.

   Nous pouvons nous gausser de la pratique souvent clanique de nombreuses sociétés africaines, mais personne n’y est jamais rejeté contrairement à l’exemple que nous donnons piteusement de nos sociétés occidentales depuis près de 40 ans.

   Chacun doit trouver sa place au sein de notre société. Comme nous ne serons jamais égaux si ce n’est en droit, il appartiendra toujours aux plus forts et aux plus intelligents de notre société de faire leur place et toute leur place aux plus démunis.

   Leur responsabilité  en la matière doit systématiquement  être mis en exergue  dans l’éducation donnée aux plus chanceux de la société c'est-à-dire les cadres et les futurs cadres. La cohésion de notre peuple est à ce prix et nous pourrions rapidement regretter d’avoir oublier depuis 40 ans cet impératif de la vie en collectivité.

   Le retour  à l’instruction militaire obligatoire de nos élites des grandes écoles répond en partie à ce souci.

   Prendre en charge ceux qui en ont le plus besoin, ceux que la nature a souvent oubliés doivent côtoyer les plus chanceux pour qu’ils n’oublient jamais leur devoir moral et de citoyens vis-à-vis d’eux.

   Chacun doit pouvoir avoir la place qui lui revient, la complémentarité traduction de la fraternité doit être remise en œuvre et la responsabilité des élites est engagée car ils en sont et en seront toujours tenus pour responsables.

   29/ L’accompagnement des femmes dans le monde du travail

   Notre pays est parmi les grands pays occidentaux celui qui compte le plus grand nombre de femmes insérées dans le monde du travail.

   Leur place est un acquis social  incontournable tant pour les femmes elles-mêmes que pour l’économie du pays.

   Il est cependant navrant de constater le peu de places de cadres qu’elles occupent au sein des entreprises et de savoir qu’elles représentent 80% de postes de temps partiels non choisis sur près de 3 millions d’emplois.

  L’accès à l’emploi est une des conditions de la libération sociale de la moitié de la population française mais quels sont les freins qui justifient cette situation aussi injuste que nuisible à notre économie. (L’avenir de notre société en dépend directement)

   Si les femmes sont les égales des hommes en droit seulement la réalité est tout autre. Leur spécificité dès lors qu’elles deviennent mères de famille doit leur être reconnue.

 Pour ce faire l’état doit mettre en œuvre une politique qui vise à leur permettre outre leurs charges de famille de pouvoir concourir avec leurs homologues masculins à équivalence de capacité en les affranchissant de leurs charges de famille qu’elles assument de plus en plus seules.

   Toute entreprise de plus de 100  personnes devraient créer en interne ou en partenariat avec d’autres entreprises des crèches gratuites à la disposition de leurs salariées comme cela se pratique au japon non dans un souci de confort mais d’efficacité de l’entreprise. Le financement pourrait être obtenu par les crédits déjà existants mais transférés  en parti sur les entreprises.)

   Dégager les femmes de la contrainte des impératifs de garde des enfants est la première condition de la parité qui permettra l’accès des meilleures d’entre elles aux postes d’encadrement.

   Dégagées de ce souci elles pourraient plus librement s’investir dans les réunions de direction et contribuer par leur manière personnelle à développer les marges des entreprises françaises.

   Un effort de formation devra être mis en place prioritairement pour celles qui reviennent à l’emploi après une naissance. Il existe des fonds spécifiques de la communauté Européenne que la France n’utilise jamais contrairement à nos voisins.

La création d’un salaire plancher pour les mères de famille qui travaillent devra être instauré. Le complément sera à la charge de l’état et permettra pour les femmes seules en particulier de faire face aux dépenses incontournables de leurs enfants qui garantiront les retraites des autres familles n’ayant pas d’enfants. Ce complément de salaire pour celles qui le nécessiteront s’obtiendra en diminuant certaines dépenses consécutives à leurs absences.

   L’orientation vers les filières d’excellence en particulier scientifiques devra leur être proposées dans les classes préparatoires et par conséquent dans les grandes écoles qui représentent encore aujourd’hui  la meilleure possibilité d’accès aux postes d’encadrement de haut niveau en France.

   Leur sélection vers les  filières scientifiques doit devenir la règle dès la 6°

à  suivre  voir  fiche  sui_vante:


  


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