Fernand me gratifie d’une nouvelle carte postale. Ah le bon secrétaire que voilà, si soucieux de se savoir loin de moi ; Pensez, en Ariège, dans le zéro neuf, au Mas d’Azil. Diable. En revanche, à lire le verso (qu’il a si gros) de son aimable communication, le bougre me coûte. Il va me falloir aller, avec la bécane à se ballader dans le temps, choper les chiffres gagnants du loto de la semaine prochaine histoire de rembourser Laurence Thomas , potière de ses dix doigts, des méfaits centrifuges de mon bon malhabile . Bref.