Voici dégoté sur le net un blog qui a le mérite d’afficher clairement la couleur:
« Il y a une semaine, j’écrivais : » Et si comme moi pour la peinture, les chevaux vous emmerdent… » qui en a intrigué plus d’un ici-même.
Depuis que je m’implique dans l’art en général et dans la peinture à l’huile en particulier, je dois reconnaître que mon aversion pour la représentation équine sous toute ses formes n’a fait que se renforcer.
Pourquoi ? Je n’en sais foutre (de cheval) rien.
C’est ainsi et pas autrement.
Bien sûr, il y a des exceptions, comme le cheval du Quijote peint par Daumier ou celui que chevauche Napoléon et peint par David…
Mais sinon, tous ces artistes qui font des chevaux, de près ou de loin, galopant crinière au vent dans des paysages sauvages (comme le sont les chevaux)… tout cela me navre.
Pourquoi peindre des chevaux ?
Le premier qui me parle de la plus belle conquête de l’homme, je l’invite à aller manger steak tartare, un vrai…
C’est vrai quoi, ca craint (de cheval) ces peintures chevalines…
Pourquoi tant de haine pour le hennissant me direz-vous ?
Je ne sais pas, cela ne se décide pas.
[...]
Je voulais développer davantage cette analyse artistico-équine passionnante, mais un incident de dernière minute m’a dévié de ma trajectoire. »
Et là ça me fait rire car c’est tellement aux antipodes de ce que nous vivons au quotidien. Comme quoi tous les gouts sont dans la nature. Il n’a pas tort, nous n’avons pas raison. C’est caustique.