Bizarrement, avec le temps, je commence à comprendre les personnes qui s’attachent aux objets… Avant je trouvais cela étrange et très matérialiste… maintenant je me surprends à avoir un petit pincement lors d’une vente d’un objet unique, comme les fingerskates.
En préparant la commande, j’essaie de m’imaginer vers quel genre de mains il va atterrir et espère fortement qu’il aura le meilleur accueil et les meilleurs attentions… Comme s’il avait une âme… Peut-être parce que nous nous séparons d’un petit bout de “nous” à chaque fois. La “custom blues”, c’est grave docteur ?
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