Le meilleur disque, le plus lumineux et le plus dégoulinant de l’année et sans conteste à mettre à l’actif de The last shadow puppets, cache-sexe country cinématographique de l’Artic Monkeys Alex Turner et du Rascals Mils Kane. C’est vraisemblablement un truc sans lendemain mais à coup sûr le disque le plus voluptueux de l’année. Côté France, Alain Bashung et son « Bleu pétrole » épouvantent et surclassent l’ensemble de la production nationale. Au rang des rééditions il y a pléthore et du très bon au point que l’on peut s’interroger sur une musique qui brille parfois plus par ses « oldies » que par des nouveautés déjà faisandées le lendemain de leur sortie. Quitte à passer pour un vieux hippie, je veux remercier les camarades Sony et BMG d’avoir, probablement suite à une erreur manifeste de leur service marketing, ravivé notre mémoire musicale en ressortant le mythique « Pacific Ocean Blue » de Dennis Wilson.
Au cinoche, circulez il n’y a rien à voir. En cette année ch’tis, le style baraque à frites s’impose définitivement et on ne remerciera jamais assez l’adorable Dany Boon d’avoir assuré la promotion du service public postal qui en a bien besoin. Si je voulais être poseur,…