Je viens où la charnière se disloque, en un abîme éblouissant, sans toi ni moi.
Uni par un reflet liquide bruissant de dimensions.
Où le revers engendre la candeur, où les voluptés de l’absence palpitent à toute volée.
Je viens où la satiété épuise le désir, juste ici, livrée à la fulgurance de la marguerite.
en miroir de voyage de fr@nçois