Idées reçues : un nommé Marx Karl, presque révolutionnaire....
Par Bernard Vassor
Par Bernard Vassor
Cette adresse aux membres de
l'Association Internationale des Travailleurs, datée du
21 février 1871, démontre une fois de plus que
Marx Karl, qui dans sa correspondance avec Engels, disait déjà un an avant, souhaiter la victoire de la Prusse sur les français qu'il détestait par dessus tout, n'a rien fait, pour encourager la Commune de Paris. Contrairement à ce que depuis plus de cent trente ans, les historiens tentent de nous faire croire. Le dernier en date, qui n'est pas historien, mais qui se targue de l'être, Jacques Attali, dans sa biographie assène avec ses gros sabots, les plus énormes balourdises. ..... Cette lettre de Londres, a pour but de continuer son travail de sape du mouvement ouvrier qu'il veut contrôler entièrement. Il parle à propos des françaisprétendant arriver au parlement pour représenter la classe ouvrière, d'homme d'appartion spontanée presque inconnus étant des ouvriers de la dernière heure, et que bien peu d'entre eux prennent leur rôle au sérieux. Rappelons au passage
qu'il n'y avait que deux ou trois partisans de Marx au sein des membres de la Commune de Paris, ! ....... Il conseille donc aux français "
de prendre exemple sur leurs frères d'Allemagne (...) qui
ne cherchent point leur force dans l'émeute. C'est par la persécution, par l'emprisonnement, de Jacoby, Diebneck et tant d'autres, que la société s'est fortifiée, grande de l'estime de tous, voire même de ses bourreaux (...) Il conclue son sermon par un appel grandiloquent : "
restons unis et calmes, et placés au dessus des mesqunes et petites rivalités (!!!) des peuples, jetons les fondements indestructibles de la fraternité universelle des travailleurs et des deshérités de la société" Marx Karl arrivera à ses fins en faisant exclure la fédération jurassienne, et prononcera l'arrêt de mort de
"l'Association.Internationale des Travailleurs" de
Londres à New-York. .........