Parce que le capitaliste Français Philippe Germond s’est fait virer, on a recruté pour lui succéder l’ancien ministre Chiraquien, l’oublié Thierry Breton. Pas fou, Breton à tout de suite expliqué qu’il ne toucherait ni prime d’arrivée, ni parachute le jour de son départ, histoire de démontrer que le capitalisme français se moralisait. Le hic dans l’histoire c’est que Breton touchera tout de même 1,2 millions d’euros de fixe, une deuxième couche de 1,2 millions de bonus sous conditions de résultats, 233 000 euros d’options basées sur les performances chaque année, dès 2008. Quand on sait que le chiffre d’affaire de l’entreprise est de 5,6 milliards d’euros, avouez que le ratio demeure sympathique.
Il faut dire que ça moralise sec dans le capitalisme français. D’ailleurs suite à ce que l’on pourrait assimiler à un « acharnement » du Medef alors en pleine crise, on nous annonce que plus de la moitié des dirigeants du CAC 40 viennent de renoncer à d’éventuelles indemnités de départ. Ce n’est pas suffisant explique l’UMP dont des esprits malveillants disent qu’elle est entrain de courir au secours des grands patrons. Le député UMP Houillon, soutenu en l’espèce par Lagarde exige du Medef d’étendre la mesure aux 700 entreprises cotées c'est-à-dire à ce qui constitue la base du syndicat patronal.
Flûte, encore une revendication que le PS français, le plus à…