Le crédit à la consommation est nécessaire et utile puisqu’il finance 10% de là consommation ménages, dans la mesure où il permet d’étaler dans le temps des achats d’équipements ménager et non pas de vivre à crédit en tombant dans le surendettement, principalement à cause des taux pratiqués, qui sont à la limite de l’usure.
La réforme voulue par Christine Lagarde et Martin Hirsch devrait mettre un terme aux pratiques trop agressives en matière de publicité et fera en sorte que soient clairement expliqués aux consommateurs les termes de leur engagement et de mettre en place des gardes fous pour la souscription des crédits, en particulier en obligeant les banques et els établissements de crédit à vérifier la solvabilité des consommateurs.
La véritable dérive vient des cartes de paiement privatives associées à un crédit revolving qui laissent au consommateur la possibilité d’opter pour le crédit au moment de son passage à la caisse.