Fouler les cendres de nos jours précieux,
Quand nos esprits libres et adolescents,
Conjuguaient rêver à tous les temps.
L'herbe du terrain a quelque peu bruni,
Mais les ambitions de ses nouveaux occupants,
Restent les engrais les plus hardis,
Pour cultiver la sagesse de ces bâtiments.
J'entends encore les rires énergiques,
D'anciens compagnons devenus despotiques,
Mercenaires d'un état lubrique,
Qui leur a fait perdre leur belle éthique.
Qu'il est loin ce temps où l'on parlait révolution,
Changer la donne de ce monde de cons,
Où la quête pour l'argent est l'unique obsession,
Laissant l'humain sombrer dans un puits sans fond.
Thanks to C.