Pour une fois, j'avais un certain choix de titres qui auraient pu convenir à ce billet.
Si je n'avais pas voulu faire entrer mes suibantes illustrations (je vous préviens, il va y avoir encore de la bibliothèque en second plan) dans l'épisodique déballage (le fameux "en mode japonaise...", donc) de tous mes achats dans les fripes japonaises de Tokyo et autres villes avoisinantes, vous auriez pu lire sur vos Netvibes ou autre GoogleReader:
* Bleu, blanc, mais sans le rouge. (non, je n'ai pas un gramme d'âme patriotique.)
* Marie Ingalls sort de mon corps, bis.
*Louange à toi sainte Marie des anges. (même si je suis athée trois jours sur quatre)
* Barbie Princesse des neiges. (Pas grave si je ne suis pas blonde)
Ce matin là de la semaine passée, pour des raisons obscures certainement relatives à mon cerveau qui jamais ne se réveille avant 14h (pour se rendormir à 14h30, digestion oblige), j'ai mis la main sur la dernière pièce ramenée du Japon que je n'avais encore point osé porter.
Rien de plus remarquable, déjà, que de porter une robe blanche en quasi début d'hiver. Si en plus on y rajoute la totale niveau accessoire, là, on en arrive carrément à faire jaser même les plus personnes les plus imperméables à toute question modesque.
J'assume vous dis-je. J'assume et je me suis bien amusée à récolter les commentaires fusants tout au long de la journée...
(un petit clic pour voir en TRES grand)