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Pour aller droit au but :
Nous avons tous remarqué que des blogs n'étaient pas acceptés dans ces nominations, d'autres qui n'étaient pas acceptés dans certaines catégories et non d'autres malgré le fait d'être proposés par différents internautes avec différentes IP (peur de la concurrence?) et j'en passe ...
Ce blog aussi fait parti des bannis et rejoins le mouvement.
Ce qui est bizarre par contre c'est que les organisateurs de ce TBA et à leur tête notre chère Yosra n'ont donné aucune explication ni éclaircissement quant à ces rejets, refus, abus, discriminations, ... Le règlement contradictoire n'est pas là pour les aider, faire le ménage dans le Groupe Facebook encore moins.
Ce qui a changé par rapport à l'année dernière, c'est la venue des sponsors et devant les sponsors il faut montrer patte blanche. Donc tous les blogs chelous OUT ! et Dieu sait qu'il y en a . Ce n'est pas de leur faute, ils expriment leurs pensées.
Beaucoup disent que ce TBA c'est de la merde, beaucoup ledisent parce qu'ils/elles n'y sont pas.
Ce n'est pas de leur faute, ils/elles n'ont pas été actifs en 2008 mais n'arrivent pas à s'en rendre compte.
Des blogs contraires au règlement ont bel et bien été acceptés dans ce concours, ils ont bien su se camoufler? Ce n'est leur faute s'ils sont passés entre les mailles du filet.
Dire que ceux qui y sont nominée est de la pure médiocrité est faux. Plusieurs blogs qui sont présents sont de qualité et c'est pas leur faute s'ils sont clean.
En plus il y a des personnes qui les ont nominés et ont voté pour alors ils faut au moins les respecter.
Créer un Blog Awards parallèle ... oui, pourquoi pas, mais sachez que dans celui-là aussi y aura plein de merde et de médiocrité et ce n'est pas de leur faute, ils sont faits ainsi.
Le blogging est le reflet du comportement humain : il est plein d'égoïsme. Dès qu'on touche à l'intérêt d'un bloggeur il crie au scandale. Ce n'est pas sa faute, c'est son instinct.
Finalement, ces Tunisia Blog Awards ont bien créé une belle merde (pour ne pas changer) mais la question qu'on se pose maintenant : A qui la faute ?