L’autre jour, en furetant dans les rayons de Virgin (c’est MAL), j’ai découvert une pépite : un livre rose fluo avec un homme et une femme qui courent, tous nus. Mignon mais qu’est-ce ? Tiens, 200 caricatures du New Yorker sur le sexe et la sensibilité. Bon, fauchée pour fauchée,effrayons ma banquière et prenons le.
A l’arrivée, j’ai bien fait de le prendre. 200 caricatures, y a du choix. Y a des illustratrices qui me tapent plus dans l’œil que d’autres mais chaque dessin pourrait limite faire l’objet d’un article, certains nous font sourire, pas mal du tout. Un petit côté Sex and the city en dessin finalement et en VOST, s’il vous plaît. Comme ça, vous pouvez réviser votre anglais sexuel en même temps. D’ailleurs, je suis assez fière de moi, j’ai pas tellement eu besoin de la traduction en français pour comprendre. Oh my god, I am bilingue !
IL est vrai qu’au-delà de l’aspect New Yorkais très sex and the city de ces caricatures (je me demande d’ailleurs si c’est pas un peu le pitch de départ du bouquin « hé, on va faire un bouquin genre Sex and the city, le DVD vient de sortir, yeah ! (j’ai toujours pas vu Sex and the city le film mais je crève les yeux à qui me l’offre à Noël (sauf si c’est PtitDop mais juste parce que je crois pas qu’il pense à me faire un cadeau))). (Je surkiffe les parenthèses dans les parenthèses, presque autant que les PPPS). Je disais donc : il est vrai qu’au-delà de l’aspect New Yorkais très Sex and the city de ces caricatures, on se retrouve dans pas mal de dessins. Evidemment, moi, les relations époux-épouse, ça me parle moins mais ce n’est pas pour autant que ces planches ne me font pas rire. Finalement, l’amour, c’est universellement compliqué.
En plus produit pour ceux qui aiment, il y a quelques textes et surtout, une présentation-biographie de chaque dessinatrice et ça, j'aime bien parce que ça permet de voir un peu des trajectoires de vie. Puis moi aussi dans mes rêves les plus fous, j'aimerais être dessinatrice. Mais je ne sais toujours pas dessiner...
En tout cas, ça ferait un cadeau de Noël sympa. Et moi, je me dis que je devrais lire le New Yorker online plus souvent (même si leur site Internet est légèrement bordélique).