On a l’habitude de se moquer du convive qui « ne tient pas l’alcool » et qui montre des signes d’ivresse dès l’absorbent du premier petit verre, sans savoir que cette faiblesse apparente le met à l’abri de sombrer dans l’alcoolisme, comme le montre des études récentes publiées aux Etats-Unis
Des travaux plus an anciens avaient déjà démontrées que les personnes les plus résistantes à l’alcool, du fait d’un trait génétique dont elles bénéficient, couraient un risque plus élevé de devenir alcooliques et devraient, s’ils sont en groupe, arrêter de boire, des que les premiers signes d’ivresse se manifestent chez l’un d’entre eux.
Une récente découverte, fondée sur des tests sur 367 membres de familles possédant ce marqueur génétique confirme que le degré de réponse à l’alcool, associé avec la dépendance et l’abus d’alcool est influencé par un groupe de chromosomes qui peut avoir d’autres effets néfastes, comme la vulnérabilité aux cancers du poumon.