« Jusqu’à un certain moment, la mort reste quelque chose de trop éloigné pour que nous nous occupions d’elle. Elle est non-vue, elle est non-visible. C’est la première phase de la vie, la plus heureuse.
Puis, tout à coup, nous voyons notre propre mort devant nous et il est impossible de l’écarter de notre champ visuel. Elle est avec nous. »
Milan Kundera, L’Immortalité, Gallimard, 1990 (p. 92)
J’ai décidé de lire tout Kundera – enfin, tout ce que je n’ai pas encore lu.
Fuligineuse