L’éternelle question du sapin de noël revient cette année sur le devant de la scène avec l’inconciliable dilemme de la ménagère de moins de 50 ans, mère ou grand mère de famille et désormais férue de développement durable. Souvenez vous, l’année dernière, nous avions conclu que l’achat d’un sapin de culture n’était pas forcément synonyme de déforestation néfaste. Il est vrai que la gestion durable des forêts de résineux, que ce soit dans le Nord de l’Europe ou dans les contreforts des Vosges, peut contribuer à l’absorption vertueuse de dioxyde de carbone. Et en ces temps de crise, qui aurait le mauvais gout de saboter un marché de plus de 150 millions d’euros, rien qu’en France ? Alors pas de complexe, foncez sur votre hyper du coin, et posez la question : il set tout à fait possible que les quelques centaines de sapins empaquetés proviennent d’une exploitation parfaitement saine. Et si vous vous sentez toutefois quelque doute, reste la solution du sapin en papier recyclé. Vu à la télé !