En ces temps de grisaille économique et climatique, rien de tel que quelques brèves de comptoir pour se remonter le moral (extraites du tome 3 des “Brèves de Comptoir”, Jean Marie Gourio) :
- “Il est mal dans sa peau. _ Eh bien qu’il s’évade ! à quatre pattes la nuit par le trou du cul”
- “Les machines ont remplacé ceux qui travaillent, mais vous verrez qu’un jour, elles remplaceront ceux qui ne font rien”
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- “C’est des barbares ! _ Tuer des prêtres sans défense, qui sont pauvres en plus, franchement c’est honteux _ C’est des barbares ! _ La tête coupée, à des vieux ! _ Décapiter des prêtres _ Et en plus ils ont mélangé les têtes, il paraît”
- “Un Côte de Provence rosé qui reste dans la bouteille ? A la maison, jamais, si c’est pas nous qu’on le finit, c’est les enfants”
- “Vous avez de la famille à réveillon ? _ Que des connards ! Vous voulez venir ?”
- “J’aime pas me voir en photo, on dirait un connard qui est content”
- “tu sors pas voir l’éclipe ? Y en a une tous les 18 ans ! _ J’ai pas fini mon demi, j’irai à l’autre”
- “Y a deux minutes qu’il est parti, pas plus ! si vous marchez vite, vous pouvez le rattraper… _ Un demi”
- “Il a des boutons sur la joue gauche et des cicatrices sur la joue droite, comme une figure qui se boutonne, vous voyez ?”