Il y avait aussi des gens en dessous de moi mais c’est juste parce qu’ils n’ont pas de blog ou ne sont pas inscrits (ils ne doivent pas aimer la comparaison de virilité 2.0) donc je ne suis pas sûre que le critère soit pertinent.
Je tiens d’ailleurs à parler d’un sujet sensible sur ce blog. Le cas problématique du taxi vers 20 h dans le 94. Y’en a pas.
On a mangé dans un restau très bien que je vous conseille au passage ; Le cou de la girafe (c’est moi qui ait trouvé l’adresse, je tiens à le signaler ainsi je donne une orientation gastronomique à ce blog). Moi j’ai mangé du foie gras et un dessert au chocolat vu que j’étais en interruption de régime. Evidemment, j’ai mangé au milieu une salade de roquette ce qui m’a garanti mes 5 fruits et légumes (chutney du foie gras + fruit qui sert à la fabrication du coca cola + graine de cacao + betterave servant à fabriquer le sucre). Oui après hypokhâgne j’ai fait un DEA en nutritionisme.
Pour parfaire la métaphore animalière j’ai ensuite suggéré d’aller à l’Impala lounge, un “bar africain” (je m’autocite). Le blogueur est moqueur, il a trouvé que ca ne faisait pas africain. N’empêche que l’impala n’est pas née en Hongrie.
On émet l’idée d’aller chez Régine, seul lieu où je supposais que les clientèles seraient plus âgées que moi. A part le salon de thé – et encore la blogueuse vingtenaire le squatte – ca se raréfie. Zont dit non.
On s’est donc retrouvé au Queenie. C’était super bien car j’ai pu observer la tête de Dieu lorsqu’il écoute Soft cell. C’est comme quand je propose une feuille de salade à Azel en gros.
Il y avait plein de gens pauvres mêmes pas capables de se payer un verre chacun ; ils avaient une bouteille de champagne à six.
J’ai pris un cocktail super bon appelé sweet love ; je suis une grande romantique. Je vous le conseille c’est comme si vous vous enfourniez dans la bouche 10 paquets de dragibus. J’en ai bu deux très bonne gorgées.
Les gens là bas sont super gentils ; des fois qu’on oublierait ils nous demandent si on veut laisser un pourboire. Il se trouve qu’on n’avait pas oublié de ne pas en laisser.
Comme je le dis toujours, n’abusons pas des bonnes choses, donc on est parti.