Battles, «Atlas»: Mes circuits peuvent apprécier la précision mécanique de ces musiciens, presque autant machine qu’homme. Leur post-rock instrumental et clinique offre un refuge loin des émotions humaines. Si tous les humains pouvaient se trouver enfermés dans de tels cubes en miroir, les machines pourraient enfin dominer le monde!
Big Black, Bad Penny: Mon cousin Roland était le drum machine de Big Black. Quand le groupe s’est séparé, le pauvre s’est retrouvé dans un poussiéreux garde-robe tandis que le leader Steve Albini allait de succès en succès avec Rapeman et Shellac. Je préfère me rappeler les bons moments, comme cette chanson extraite de l’album «Songs about fucking». Ça arrache en 01001110111011.
Bloc Party, «Flux»: Ce groupe brittanique commence à mélanger les instruments traditionnels et l’équipememnt électronique, ce qui sème la confusion dans mes circuits. En plus dans le vidéo, un armada de monstres assiège la ville. Tout cela me fait réfléchir...
Console, «14 Zero Zero»: La douce caresse des synthétiseurs, l’extase d’entendre des équations mathématiques se transformer en musique pour les primitives oreilles humaines. En plus, cette toune est très entraînante.
Kraftwerk, «The Robots»: Papa ?