Les instances nationales de l'UMP se donnent du temps pour tirer les conséquences des recours déposés dans 4 circonscriptions de l'Isère reposant sur des faits sérieux dans le cadre d'écarts parfois très réduits.
Les votes internes des formations politiques peuvent-ils être une zone de non droit avec des agissements qui entraîneraient automatiquement des annulations dans des situations de droit commun ?
C'est la question à laquelle les instances nationales de l'UMP doivent répondre dans le cadre de l'Isère lors d'un scrutin manifestement marqué par des tensions et des pratiques hors du commun.
Le report des résultats doit permettre un examen plus serein avec une situation locale à très hauts risques compte tenu de l'exacerbation des tensions.