La situation est inexpugnable. Ségolène Royal choisit l'indépendance et va renforcer sa propre structure.
L'éclatement des "forces de gauche" paraît incontournable transformant le 1er tour de la présidentielle en vaste primaire avant un second tour basé sur le tout sauf Sarkozy.
Dans cette logique, il faut donc s'attendre à un renforcement de "désir d'avenir" pour que cette structure devienne la base logistique de la présidentielle 2012 de Ségolène Royal.
Dès que l'assiette électorale de Nicolas Sarkozy reste en dessous des 27 %, ce choix de l'éclatement n'est pas trop risqué.
Le tassement de sa base électorale dans le cadre des européennes va ouvrir cette forme de compétition.