Mon iPhone il fait tout : téléphone - évidemment -, lecteur de MP3 – énormément -, terminal internet – un peu, pas mal, en fait – GPS – un peu, pour rigoler –, lampe de poche - ben oui - et maintenant je joue dessus. Parce qu’il commence à y avoir des jeux sympas ! Des gratuits et des payants. Oui, mais lesquels ?
Mon permier, c’était Cannon Challenge. Un jeu simplissime : en réglant l’inclinaison et la force d’un canon, il s’agit de détruire des cibles. Après ? Ca a été iGolf, là aussi, un jeu facile, avec un petit air de Wii, avec comme risque sérieux… celui de balancer le téléphone.
Après ces essais gratuits, je passe en zone payante : avec Real Football 09. Là, on change de dimension : fini l’écran d’ordinateur ou celui du téléviseur, fini la manette, je mets mes gros doigts sur l’écran, je m’efforce de comprendre les actions et au bout de quelques minutes, je maîtrise, je parviens à marquer des buts. Vient ensuite Spore. OK, le jeu peut paraître décevant, puisqu’on ne dépasse pas le niveau de la soupe primaire, mais justement, c’était la partie négligée de Spore. Moi j’adore. Et après ? Crash Bandicoot : Nitro Kart… tellement simple, lui aussi, et plus vite réglé que les autres jeux : trois tours et on n’en parle plus, avant de relancer une partie. Et là, je suis dans Brothers in Arms : Hour of Heros, histoire de se mettre aux jeux de combat, pour changer du PC et de la Xbox 360. Histoire de patienter chez le dentiste, au cinéma, pendant la séance de publicité, ou pendant une réunion, au bureau. Ah oui, le hic, c’est qu’à la fin de la journée, l’iPhone ressemble plus à une tablette de beurre - 125 grammes - qu’à autre chose. Evidemment, il est moins glamour.
NB : un de mes collègues ne jure que par Trism, je veux bien, mais il n’a qu’un Palm-je-sais-pas-quoi, et il n’est pas connu dans nos locaux pour être un grand joueur…
Pierre Bouvier