Pour les géobiologues, à chaque métal présent dans le sous-sol de la terre correspondrait un réseau particulier formant un maillage plus ou moins large. Le réseau qui a le plus de notoriété est connu sous le nom de réseau Hartmann. Il correspond au nickel. Il existe plusieurs réseaux différents mais, le réseau le plus utilisé par les bâtisseurs qui seraient adeptes de la géobiologie est le Hartmann que l'on percevrait le plus facilement.
Ces réseaux seraient formés de "murs" énergétiques, autrement appelés lignes telluriques. Les géobiologues aiment à penser que les bâtisseurs du passé ont eu par l'intuition ou l'expérience tiré profit des croisements de lignes positives triples et quadruples pour implanter les lieux de culte d'autrefois, d'autant que les vortex cosmo-telluriques affectionnent ces points très positifs. Cette propension à projeter un prétendu savoir géobiologiste sur les bâtisseurs du passé est d'autant plus forte que les sources historiques vérifiables manquent (édifices incas, dolmens et menhirs, etc.)
Les réseaux du nickel et du fer sont ceux que l'on ressentirait le mieux, pourraient avoir des effets néfastes, à l'emplacement des croisements de lignes négatives, et surtout s'il s'agit de croisements négatifs de lignes doubles ou triples. L'effet néfaste est décuplé en cas de…