Une reconversion : oui, mais à quel prix ?

Comment peut-on estimer qu'un professionnel est meilleur qu'un autre ? A ses diplômes ? A son expérience ? A sa volonté d'évoluer ? A sa capacité d'adaptation ? A sa passion pour son métier ? etc.

Difficile aujourd'hui de retrouver un emploi dès lors qu'on manifeste la volonté de changer de métier. Peu importe le niveau d'étude obtenue ou les expériences transversales, ce qui compte ce n'est pas ce que l'on a fait ou ce que l'on possède, mais qui on a cotoyé et l'importance de notre relation avec cette personne.

Crédit photo : Faakhir Rizvi/SXC

La reconversion est une manière d'élargir ces compétences et de permettre à l'entreprise un engagement complet dans la diversité. Mais voilà, derrière les belles paroles quotidiennes, derrière des signatures et des engagements de paraître, il y a la réalité. - le recrutement continue à se faire à partir d'un CV, hors tout le monde est d'accord sur son aspect discriminant et à 70 % mensonger. - les employeurs s'engagent dans la diversité : on recrute des littéraires plutôt que des financiers parce qu'on s'est engagé à le faire. Mais on ne sait pas où l'on va.

Face au barrage encore bien présent en matière de recrutement, deux solutions s'offrent à ceux qui s'engagent dans cette voie :

• lors de votre préparation à la reconversion, établissez un réseau social fort, parlez autour de vous de ce que vous faites et les motivations qui vous conduise à ce choix. Faites vous connaître, l'anonymat est le pire ennemi des profils atypiques.
• et si vos compétences le permettent, n'hésitez pas à créer votre propre entreprise, vous aurez au moins la satisfaction de faire le métier comme vous l'aimez.
  

Sachez que vous avez aussi un allié du nom d'ELITES qui lui saura mettre en avant vos compétences. Et comme dit mon partenaire, David Bernard, ELITES ne recrutera que des catégories A pour les entreprises qui lui feront confiance.