Un an, un an déjà qu'avait lieu la ridicule tragi-comédie de l'élection de Miss France. Souvenez-vous, la douairière en chef piquait une crise de nerfs en découvrant quelques gentilles photos un peu dénudées de Valérie Bègue et décidait de la remplacer par une miss de son choix. Pas le second choix du public, non, une miss obscure qui avait eu l'heur de lui plaire et pouvait sans doute certifier de n'avoir jamais posé presque nue... avant le grand soir. Tant pis pour ceux qui avait versé leur obole dans les caisse d'Endémol, de TF1 et de Geneviève Mulmann, dite "De Fontenay" par sa grâce personnelle.
Voici donc que demain soir, la rombière bobo sera de nouveau sur scène en train de faire bouillir la marmite, paradant, dévoilant son fond de commerce, pardon, ses filles, menant son show de mère maquerelle à la façade BCBG aussi fausse que son nom mais au marketing bien huilé. Un marketing si huilé qu'il lui a permis de phagocyter la gestion des beautés de la maison France et d'en conserver le monopole depuis des décennies à la barbe d'autres margoulins.