jeudi 4 décembre 2008
La FRANCE fabrique des orphelins et criminalise les enfants ... merci SARKOZY !
Jean-Pierre Dubois : " Techniquement, rafle est le mot juste "
Aujourd'hui, plusieurs actualités se percutent à chaque fois l'état SARKOZYSTE s'en prend à des enfants ...
Ici chez DEDALUS, vous découvrirez comment la police va dans les écoles maternelles chercher des petits enfants.
Ici chez SKALPA, vous serez invitez à signez la pétition contre la criminalisation de nos enfants.
Ici chez JEANDELAXR, vous écouterez & vous verrez la gendarmerie terroriser nos ados directement dans leur école.
Ici chez Gaël, vous ferez le tour des toutes dernières abominations.
Ici chez Marie-Georges, vous verserez peut être une larme.
En y allant, vous rencontrerez la société d'avant guerre, celle que nous a vendu Nicolas SARKOZY et que 53 % des électeurs Français qui se sont déplacés ont approuvée...
Les plus grandes guerres sont votées et sortent des urnes.
La guerre de Nicolas SARKOZY contre nos enfants aussi, ne le laissons pas faire, soyons des adultes !
Nicolas Journet
La comparaison des 462 649 mots des 67 discours prononcés durant leurs campagnes électorales par Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal (de décembre 2006 à mai 2007) confirme l'impression première : ils ne maniaient pas la même langue. N. Sarkozy a produit (en moyenne) des phrases de 22 mots, alors que S. Royal s'en offrait 31, Jean-Marie Le Pen 28 et François Bayrou 27. Le candidat Sarkozy parlait court et direct : sujet-verbe-complément. Cette structure simple du discours contribue à sa réputation de sincérité.
Par ailleurs, son éloquence est marquée par plusieurs autres traits : 1) la répétition de formules et la reprise de mots identiques. Son vocabulaire était de ce fait plus restreint que celui de sa rivale ; 2) la fréquence élevée de certains mots : " ne ", " pas ", " morale ", " autorité ", " mérite ", " effort ", " travail "... Cette présence des négations, c'est le droit d'interdire, que revendique le candidat, de même que ses mots favoris sont typiques d'une certaine droite légitimiste d'avant la Seconde Guerre mondiale. Le candidat prit aussi la peine de dénigrer mai 68 plus d'une fois. Ce style à la fois simple et moraliste, apparemment, ne déplut pas aux Français, même si l'auteur de l'étude y voit le retour programmé à un populisme.
Damon Mayaffre, " Vocabulaire et discours électoral de Sarkozy ", La Pensée, n° 352, 2008.