Source 20minutes.fr - Les temps sont durs pour les téléphones portables des
hommes politiques.
A l’Assemblée nationale, les ondes sont brouillées, laissant les mobiles sans
réseau disponible et les députés sans possibilité d’envoyer des SMS entre deux
prises de parole. A l’Elysée, sont aussi non grata les appareils de
la marque BlackBerry, qui permettent non seulement de téléphoner mais aussi de
lire et envoyer des emails, de télécharger des pièces jointes, de consulter son
agenda ou de surfer sur le Net.