Après ma 1ère année d’anglais en 6ème et un très remarquable 4,5/20 de moyenne sur mon relevé de notes, la réponse était sans conteste : non.
La solution au problème se trouva dans la musique en compagnie de mon oncle James, anciennement barman chez les Grands-Bretons. Ainsi, tous les samedi après m’avoir embarqué sur sa belle moto (une Triumph Trophy à l’époque ? je ne sais plus), nous passions quelques heures sur l’écoute et la traduction d’un morceau.
C’est comme ça qu’il me vient toujours de bons souvenir quand j’entends Englishman in New York (Sting), Lemon Tree (Fool’s Garden), Lady in Red (Chris de Burgh) ou Heal the World (Michael Jakson) . Ces titres ont vraiment marqués mon enfance et, parmis tous, Sting est sans doute celui qui laisse la trace la plus indélébile.
Quant à savoir si mon niveau d’anglais a progressé, je vous répondrai qu’à court terme : oui; mais avec le temps croyez bien que celui-ci s’est considérablement dégradé…