… dans mon sommeil… Je fais des rêves de merde! Je suis épuisée et plus je suis épuisée plus je m’enfonce dans les abysses de la crétinerie!
Le début de mes délires oniriques, du plus loin que je m’en souvienne, remonte à quand j’étais chez ma nourrice tyrannique (ouais faudra je vous cause aussi de tous les traumatismes qu’elle a causé chez ouam :detoutessesdents:) et que je faisais la sieste. Mon père s’en allait loin loin dans le fond d’un stade de foot plus je m’approchais de lui, afin de le sauver d’un boulet de canon lancé lui-même par le père de mes copains de nourrice qui se trouvait à l’opposé du dit stade… C’est confus, ben oui c’est un rêve? Mais n’empêche que çui-là i m’a poursuivi pendant un max de temps.
Puis après y a la période cauchemar quand on avance dans l’adolescence, esprit torturé toussa toussa… Le quart d’heure qu’il vous reste pour courir le plus loin possible avec parents et animaux sous le bras sachant que votre ville va être rayée de la carte à la bombe A, même si vous habitez un patelin de 80 pellos que tout le monde s’en fout… Pis y a çui où vous vous retrouvez au milieu de la cour du lycée, où tout le monde s’effondre raide mort et vous ne pouvez ni bouger, ni gémir, juste regarder vos proches clamser… Non je n’ai jamais dépassé le stade 2 de la sociopathie! :boucheenculdedindonne:
Ensuite y a les rêves érotiques avec House, Chabal et Nicky Larson (oui oui en 2D, c’était… surprenant! :detoutessesdents:). Ceux là sont plus tenaces que les autres parce qu’une fois les nénés poussés vous admettrez que ça nous chatouille sévère!
Et enfin, quand on trouve la personne qui nous faut à nos côtés, il y a ses rêves à la noix où l’autre nous trompe. C’est souvent des rêves tellement réalistes qu’on est obligé de l’appeler au réveil en sueur suffoquante pour être sûre que ce n’était qu’un stupide tour de notre cerveau en gelée… Beh l’autre jour matin tout pile comme ça. Et le truc con c’est que la fin de mon délire se terminait justement par ouam sanglotant dans mon lit… alors forcément au réveil, y a méprise…
Épuisant…