J’ai rencontré deux vendeurs de sapins Québécois sur le coin de ma rue. Ils habitent dans une petite camionette et ils se font livrer les sapins par la compagnie qui les emploie. Paraît-il que c’est payant. Mais ça ne doit pas être évident. Les Mexicains ont d’ailleurs quitter le marché en raison du froid.
C’est donc sans surprise qu’ils ont accepté mon offre de venir se réchauffer chez moi à l’occasion. Une bonne douche chaude, une bière et une petite partie de hockey des Canadiens. Rien de mieux pour satisfaire un Québécois.