Si tu reverdis, c'est bien à nous que tu le dois. Plutôt deux fois qu'une.
Qu'on en juge plutôt : l'an dernier, tu étais au fond du trou et la bande à Roussey nous en passant quatre, sans qu'on en rende un seul, tu t'es requinqué d'un coup d'un seul jusqu'à finir en trombe et tutoyer l'Europe.
Cette année, par un dimanche de décembre, encore plus au fond du trou puisque dernier de la classe, tu es venu piquer le chardon qui ne piquait pas, glanant trois points précieux, avec de surcroît un ex nancéien aux manettes. Nous avons le coeur gros, sais-tu. Et le dos large. Car en d'autres terres bloguesques, il nous fût envoyé un message suppliant de ne point te laisser gagner ;-)
[Crédit photo : Reuters]