Ainsi Hillary Clinton devrait succéder à Condoleeza Rice au Secrétariat d’Etat, en charge de la diplomatie étrangère des États-Unis. Ce n’est pas rien; il ne pouvait pas en être autrement s’agissant de cette Dame. La “diversité” a monté d’un cran, la parité étant respectée !
Le poste de la défense nationale occupé également par la même Mme Rice lors du premier mandat de Bush resterait aux mains de Robert Gates, son actuel détenteur. L’homme semble apprécié des deux « camps » pour son pragmatisme et son absence de sectarisme de parti.
Si « pragmatisme » de Robert Gates il y a, ce serait bien aussi, « la marque OBAMA » au cours de cette longue période, peut-être trop longue, de maturation.
Sur la base de ces bruits de couloir, certains républicains ont déjà déclaré que les choix étaient bons : “C’est évidemment Barack Obama qui va décider de ses politiques. Mais il va aussi écouter des vues différentes des siennes”. La sphère politique américaine n’a pas attendu l’officialisation des nominations pour réagir et, le plus souvent, pour les saluer en soulignant qu’elles reflètent “ la volonté du prochain président de dépasser les clivages partisans“.
En France on nomme l’exercice «ouverture» avec toute la connotation péjorative qu’il peut prendre dans la bouche de certains.
Parions que ceux là même qui critiquaient vertement le président Français d’effectuer ainsi des « débauchages », trouveront des vertus exceptionnelles à la démarche du président élu américain, appréciant son excellence outre-atlantique. C’est très drôle : pragmatisme intelligent là-bas, débauchage ici !
French Fry se faisant rare, j’ai pris l’initiative d’un commentaire sur la vie de l’âne …
ééé
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Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble