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Pourquoi travailler en philanthropie en période de récession?

Publié le 01 décembre 2008 par Philanthropie

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Pourquoi travailler en philanthropie? La question se pose maintenant plus que jamais. On entend beaucoup parler de récession, ce qui pourrait ralentir les dons reçus par les OSBL autant de la part des particuliers que des entreprises. J’aurai la chance de rfevenir sur cette question bientôt quand j’analyserai les statistiques des dons américains sur une longue pétiode de temps afin de valider si les récessions impactent vraiment les dons. Certaines écoles de pensées s’affrontent à ce niveau.

Au Canada, selon cet article, la situation est assez encourageante. Une étude des dons de bienfaisance effectuée pour Imagine Canada indique que les entreprises n’ont pas l’intention de réduire leurs investissements en philanthropie. Divers leaders di milieu philanthropique sont également de l’opinion que les entreprises ne vont pas remettre en question leurs implications sociales, à part pour quelques secteurs économiques plus durement touchés. Finalement, selon une recherche d’Ipsos Reid, les dons de charité se présentent au 5 e rand des endroits où les gens vont couper en temps de récession après les restos, les cadeaux de Noel, le divertissement et les vêtements.

Si les opinions sur le comportement des donneurs philanthropiques en temps de récession peuvent diverger, tous s’entendent sur le fait que les besoins sociaux pour les services offerts par les organismes sans but lucratif vont augmenter.  Ceci me fait penser que les bonnes ressources dans les OSBL deviennent encore plus importantes afin de maintenir de bons taux de succès dans les efforts de financement. Les OSBL arrivent-elles à recruter de bons professionnels?

Il semble que oui, selon cet article qui décrit comment des professionnels dans le domaine privé font la transition vers le milieu philanthropique pour y faire une carrière moins payante mais plus satisfaisante d’un point de vue motivation et valorisation. Dans les faits, les qualités pour réussir dans le privé sont les mêmes que dans les OSBL qui offrent aux travailleurs un sens évident de contribution sociale. Cela n’empêche pas cette carrière d’être très stressante, ce qui explique sa durée moyenne 3,6 ans. Si la profession de philanthropiste vous intéresse, aller lire l’article…

  

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