Selon Yvon Jacob, "depuis fin septembre, les entreprises de cette branche ont vu leurs commandes baisser de 30% à 70%", et pour les prochaines semaines, la baisse "sera de 100%".
Cette aide réclamée par la FIM serait temporaire, remboursable si possible sur un an, et pourrait passer par un moratoire des charges sociales patronales pendant quelques mois.
Nicolas Sarkozy avait déclaré le 25 novembre à Valenciennes que, "d'ici moins de dix jours, on annoncera un plan de relance assez massif pour faire face aux difficultés de l'automobile [...] notamment les sous-traitants" sans donner plus de précisions.