Trop dur…

Je m’étais promis que mes états d’âme ne prendraient pas le pas sur le rythme de publication de ce blog quand je l’ai rouvert. Je n’ai pas toujours respecté ça, mais globalement j’ai réussi à m’y tenir pas trop mal jusqu’à maintenant (sur le mois qui vient de passer, quoi). Hier soir, j’aurais dû publier un billet dans la rubrique “il y a 20 ans”. Vous m’excuserez de cette absence remarquée (ou pas), mais n’ayant pas pu trop approcher un ordinateur pour autre chose que le boulot pur et dur pendant près de 48h, je n’ai rien pu écrire pendant ce temps.

Et ce soir, je ne peux pas. Et je ne veux pas me forcer. J’ai lancé ce blog pour parler d’une passion qui m’anime, mais aussi pour raconter un peu ce que j’ai à dire à monde que ça intéresse, ou qui s’en fout, mais ça me permet de me défouler un peu. Certainement pas pour aller contre mes envies et mes disponibilités, donc, même si j’y tiens parfois. Donc ce soir, j’ai le moral dans les chaussettes, donc pas de billet, pas d’histoire sur les jeux vidéo, pas de note rigolote sur un titre foiré ou d’éloges abusives sur un jeu. Je prends juste un peu de temps pour me reposer un peu, je n’ai pas fait cela depuis bientôt deux semaines. Et je me suis rendu compte que j’en arrive à oublier des rendez-vous, des trucs dans ce genre, etc. Ajoutez à cela que certains détails, le genre qui viennent vous fusiller quand vous avez un peu besoin de vous rassurer, vous tombent sur la gueule au pire moment, et vous avez le cocktail parfait pour une petite soirée de déprime, sans rien vouloir raconter. J’ai juste envie de réfléchir ce soir. Mais j’ai des critiques sur des jeux à vous livrer, alors on reprend très vite les affaires.