Pour la première fois, l'Etat français reconnaît un lien entre les
essais nucléaires réalisés au Sahara et en Polynésie française entre 1960 et
1996 et les pathologies développées par certains membres du personnel.
Un projet de loi présenté en janvier permettra d'indemniser les victimes. Mais
l'Association des vétérans des essais nucléaires regrette déjà les conditions
posées à cette indemnisation.