Tiens, ça faisait longtemps que j’avais pas poussé un p’tit coup de gueule.
Comme ils sont beaux et fiers ces cavaliers sur leurs chevaux sans mors, sans licol, sans filet (oui, elle était facile celle-ci).
Mais, vous n’avez pas remarqué que ces merveilleux cavaliers nous mettant sous le nez l’osmose parfaite, que dis-je l’union presque fusionnelle avec leur cheval, le font toujours en carrière, en rond de longe ou en pré ? Toujours en endroit clos. C’est trop facile, moi aussi je peux monter sur mon cheval, sans lui mettre de rênes, aller m’enfermer dans une carrière et hop, avance. Et surtout, mon chéri me filme pour qu’ensuite j’étale mon savoir-faire, ma maîtrise, mon … RIEN DU TOUT !
Faut arrêter un peu, c’est pas parce que je vais retirer les rênes de ma monture que je vais connaître la-plénitude-de-notre-formidable-relation et tous les autres adjectifs vomitifs qui vont avec.
Photos par objectiftrek