Il est dans la nature humaine de vouloir sortir du peloton

Par Nico

Entre l'écriture de deux rapports, je me suis matté Le Vélo de Ghislain Lambert hier soir à Benslimane.
Ce n'est pas l'histoire d'un champion que nous allons vous raconter ici, mais celle d'un petit coureur ayant rêvé de gloire et dont le plus grand malheur est de ne pas avoir eu les jambes que son coeur mérite.

Est-ce l'effet Tour de France ? Parmis les quelques films emmenés avec moi au Maroc, mon choix s'est porté hier soir sur ce Chef d'Oeuvre. Troisième visionage, et je là, me dis que c'est un grand film, oui madame.
Présentation
Belgique, début des années 70.
C'est en tant que simple porteur d'eau que Ghislain Lambert (Benoît Poelvoorde), modeste coureur cycliste en début de carrière, intègre l'équipe Magicrème, dont le directeur sportif est le sympathique mais rigoureux Maurice Focodel (Daniel Ceccaldi). C'est le début du rêve, même s'il a parfois un goût un peu amer. Partenaire de l'affable italien Riccardo Fortuna (Emmanuel Quatra), Ghislain doit en effet subir la supériorité sans faille du leader du groupe, Fabrice Bouillon (Jean-Baptiste Iera).
Distribution

Benoît Poelvoorde : Ghislain Lambert
José Garcia : Claude Lambert
Daniel Ceccaldi : Maurice Focodel
Sacha Bourdo : Denis
Emmanuel Quatra : Riccardo Fortuna
Jean-Baptiste Iera : Fabrice Bouillon
Christelle Cornil : Babette
Fernand Guiot : M. de Kimpe
Antoine de Caunes : Le narrateur

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