Évolution

Publié le 26 novembre 2008 par Hugues-André Serres

Évolution

Tous les éléments sont réunis en vue d’effectuer la manifestation pour un changement de société. Mais personne n’est vraiment prêt à incarner en son âme et conscience ce qui pourtant est une évidence pour notre avenir à tous. Ça parait dingue et pourtant c’est bien réel ! La science et la technologie sont au top, c’est la conscience humaine qui est à la traine. Ce n’est pas d’aujourd’hui, cela fait des années que nous observons et constatons une telle irrégularité dans notre évolution humaine. L’être humain en général s’est évertuée au mieux qu’il a pu pour un développement technologique, en mettant de côté le plus important pour lui permettre la transition le moment venu, c’est-à-dire l’élément spirituel

Cette notion manquante créant une sorte de séparation entre ses actions, son corps et l’âme. Si les actions de l’homme et de la femme ne sont pas alignées sur ce modèle, l’incarnation de l’esprit n’a pas lieu, ce qui nous renvoi au célèbre dicton : Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ! Ainsi prend naissance en l’homme les différentes sortes de maladies ou dégénérescences en vue de permettre à l’être humain de comprendre sa mauvaise orientation dans l’existence. Or l’a t-il compris aujourd’hui, non toujours pas ! Nous ne pouvons plus nous baser sur les religions qui sont toutes devenues obsolètes. Mais sur une nouvelle forme de conscience étant la résultante de nos connaissances personnelles, ainsi que de notre identification avec les autres êtres dans un but commun : l’évolution et le bien être de chaque personne en vue de notre propre réalisation, matérielle comme spirituelle.

L’avenir sera ce que nous en ferons aujourd’hui. Comprenant dés à présent qu’il ne dépend que de nous de ne plus reproduire. Les motifs pour agir de la sorte sont nombreux et varient d’une personne à une autre. On ne peut juger ou imposer un nouveau style de vie. C’est de nouveau une des raison qui me pousse à dire que la société malgré elle va de plus en plus être poussé à se diviser en deux. D’un côté les premiers, ceux acceptant d’effectuer la transition et les seconds se refusant à le faire. À la différence près que les seconds n’auront malheureusement pas le choix, car eux aussi le moment venu seront obligés de lâcher-prise… Ce n’est qu’une question de temps ! Et tout ce que nous observons aujourd’hui n’est que la conséquence et la caricature propre au résultat qui est lui parfait et donc inévitable. En fait je ne m’avance pas trop en disant que de toute manière ; nous n’avons plus le choix ! Certains cherchent à repousser cet inévitable, mais ça y est, c’est fini, nous y sommes. Il n’y a plus qu’à accepter ou au pire, disparaitre… Comme nous l’avons déjà vue dans le passé avec l’exemple des dinosaures