“qu’un jour dans l’isoloir, on effacerait leurs noms, on leur rendrait un devoir où nos bulletins seront blancs”
Marcos, c’est un chanteur non seulement touchant mais qui sait d’un carton mis à l’envers et d’une guitare sur un chantier transformer un hangar enfumé en salle de joie.
Je l’ai rencontré il y a presque 3 ans. Et je crois que c’est une belle soirée pour s’enorgueillir de ses couplets jetés entre le Beaujolais nouveau et un Brouilly débrouillard.
A l’heure où ça se tire dans les pattes dans le parti qui n’est plus guère populaire, une parenthèse de foi et de gouaille enchantée permet de, sans doute, mieux respirer dans nos isoloirs de pâte-à-mâcher.