Pff je suis sur les rotules… Et les massages n’y font rien [rooh c’est bon si on a plus le droit de vous dégouter maintenant…]
Tout va trop vite, les journées filent comme des heures, et les heures comme des seconde… Bref je ne m’en sors pas ! Tout s’accumule. Trop de boulot, trop de fatigue…
Les partiels sont de plus en plus proches. Je n’ai pas le droit à l’erreur.
La vieille technique d’étudiant qui consiste à calculer où l’on peut « se permettre » de m**der si l’on réussit dans une matière à plus fort coefficient, n’est plus de mise cette année : Plus de compensation, on ne veut que « la crème de la crème » qu’ils ont dit !
[Même si je n’en ai jamais eu besoin, je dois avouer que ça ma rassurait grandement.]
Et le facteur stress que cela engendre je suis sur qu’ils n’y ont pas pensé ?!
Et les effets secondaires à ce stress tel que le vieillissement prématuré, la prise de poids… Pff
Bon ce n’est pas tout mais je devrais bosser sur la motivation intrinsèque ou autodéterminée dans une perspective socio normative ou si vous préférez La motivation et son ancrage utilitaire/désirable dans l’évaluation, ça vous parle plus ?
Oui parce que ce n’est pas tout mais je suis grave à la bourre dans mon TE là. Quand je vous disais que j’étais dépassée. Enfin bon ça va le faire je me connais [du moins je croise fort les doigts et les orteils (on a jamais suffisamment de chance)]
Faut dire qu’en ce moment je suis plutôt à fond sur l’attribution causale [un réel coup de cœur] !
L'individu réalise une relation causale unitaire entre l'acte et lui-même. Les sujets [c'est-à-dire vous] attribuent également des actions aux figures [cf film] (attaquer, poursuivre) alors que les déplacements sont réalisés au hasard.
Etrange comment nous attribuons « des sentiments », « des actions », « des intentions » a de simples figures géométriques… Du moins moi ça m’intéresse.
[si vous ne voyez pas « d’histoire » au film, allez voir un psy :p]