Source lefigaro.fr - François Bayrou - Il a «apprécié l'idée que
Ségolène Royal envisage de faire bouger les lignes» politiques, et il
n'a «pas oublié que Martine Aubry a voulu un accord à Lille»
avec des élus MoDem, malgré la véhémence avec laquelle elle dénonce la dérive
centriste de son ennemie. Et comme les deux rivales
«s'insupportent», le troisième homme de la présidentielle de
2007 s'en est tenu là, attendant qu'un PS «en bout de cycle, en coma
dépassé», où il y a «des tricheries partout», se
résolve à accepter la logique de «rassemblement» dont il est
l'apôtre.