Mardi 18 novembre, Vincent Brack, Valérie Gilton et Jean Bernard Paulet, candidats à la présidence du MoDem de Puteaux soutenus pas Christophe Grébert et Sylvie Cancelloni, ont organisé une réunion de campagne au Café le Longchamp à Puteaux. Annie Keszey, ex-numéro 10 sur la liste Puteaux Ensemble aux dernières élections municipales était présente : "Vincent Brack m’a brutalement agressée verbalement, avec le silence complice des deux autres candidats* et m’a priée de quitter la réunion parce qu’il ne voulait pas que j’y assiste." Je publie dans la suite de cette note la lettre d'Annie Keszey aux cadres du MoDem 92. Pendant ce temps, Christophe Grébert préfère dénoncer l'infiltration du MoDem par les soutiens de Joëlle Ceccaldi-Raynaud.
Le message suivant a été adressé, par Annie Keszey, aux cadres du MoDem 92, le 21/11 :
Sylvie Cancelloni, chef de file provisoire de la section MoDem de Puteaux, a publié, sur le blog reconnu officiel du MoDem de Puteaux, la tenue d’une réunion à l’attention des adhérents du MoDem le jeudi 20/11/2008, au café Le Longchamp, dont voici la copie :
« Mardi 18 novembre 2008 Candidatures aux élections de section En l'absence de communication par le département, 3 candidats aux élections locales de Puteaux, Valérie GILTON, Vincent BRACK et Jean Bernard PAULET me demandent de faire savoir qu'ils tiendront une réunion de présentation à l'attention des adhérents du Modem de Puteaux le jeudi 20 novembre à partir de 19h, au café Le Longchamp, 86 Bd Richard Wallace à Puteaux…
J'invite les autres candidats à me faire connaître leurs dates de rencontre afin de les communiquer à leur tour.
Sylvie CANCELLONI, chef de file provisoire. Rédigé le mardi 18 novembre 2008 à 21h22 ».
Vincent Brack, Jean Bernard Paulet et Valérie Gilton, tous trois seulement étaient présents quand je suis arrivée à cette réunion. Vincent Brack m’a brutalement agressée verbalement, avec le silence complice des deux autres candidats* et m’a priée de quitter la réunion parce qu’il ne voulait pas que j’y assiste. Par leur porte parole, Vincent Brack, ils ont renouvelé plusieurs fois leur injonction. J’ai dit que c’était une réunion pour les adhérents et que j’étais adhérente à égalité avec eux trois. Cette réunion était officielle, annoncée par l’actuelle responsable de la section (absente).Nous étions d’autre part, dans un café, lieu public, dans une salle réservée et non « louée » ! J’ai évité le débat et refusé de sortir.
Ils ont rendu eux-mêmes leur tentative d’exclusion doublement illégitime, puisque c’était une réunion du MoDem et qu’ils ne se sont pas opposés à la présence ultérieure d’un candidat de l’autre partie dont je me permets de souligner la qualité politique remarquable du projet qu’il a exposé.
Prétendre à un poste de responsabilité demanderait, à mon avis, plus de maîtrise de soi, le sens des situations et le respect de la démocratie.
Ce même jour, j’avais écrit à la direction départementale du MoDem pour lui faire part de mes réserves fondées sur un doute particulièrement justifié, quant à la recevabilité de la candidature de Vincent Brack, afin qu’elle soit contrôlée par l’instance appropriée, si cela était accepté. Je savais que pendant la campagne municipale 2008, alors qu’il était le mandataire financier de la liste de Christophe Grébert, Vincent Brack habitait Nanterre et j’estimais nécessaire que les autorités départementales soient sollicitées pour vérifier son implantation à Puteaux. Il n’y a là aucun recours à un éventuel fichier et c’est mon témoignage que j’ai diffusé, sans préciser d’ailleurs l’adresse exacte de Vincent Brack, que je connais parce qu’il me l’a donnée.
Ceci, parce que la vigilance démocratique a dû se substituer, pour moi-même et d’autres, à la confiance en l’éthique très particulière des leaders, MoDem, de Puteaux Ensemble,à partir d’une succession de faits politiques objectifs**.
Dans une lettre du 20/11 adressée à la direction départementale et dont j’ai reçu la copie, Vincent Brack se demande au nom de quoi je me sens autorisée à écrire à tous les membres de la présidence de la fédération. Quelle question ! Ne sont-ils pas des recours indiscutables?
Vincent Brack serait propriétaire à Puteaux. Quel soulagement !
* Valérie Gilton ne me connaît pas du tout !** livret de 42 pages
Un calendrier qui reprend « L’évaluation de la charte éthique » en la prolongeant, adressé à Vincent Brack (V B ) lui rappellera pourquoi il est légitime de douter, quand on sait qu’il est un ami très proche de CH G et de S C. Tous trois sont d’ailleurs des « injurieurs »* qui profèrent à mon encontre les mêmes injures-insultes : Sénilité (S C), Folie (CH G, V B) Vieillesse (les 3) alors qu’ils ont pris des engagements de respect d’autrui. Parfois, sortie de son contexte, l’injure devient positive : retourne garder tes petits enfants disait Vincent Brack, quand il me chassait !
Or, ces injures, dont on mesure l’ampleur du déplacement (d’actions objectives extérieures dénoncées, vers un cerveau intérieur usé et détraqué), éjectées en présence de complices, n’ont pas l’effet attendu : blesser, blesser profondément, blesser de façon imparable, placer l’injurié dans une image dont il ne pourrait se défaire, « tuer symboliquement l’autre ».
Ces mots-projectiles ratent leur but. Pourquoi ?
Ces injures ne visent pas « juste » parce qu’elles naissent d’un déni d’une même réalité par ces trois « princes de l’équivoque », compagnons de piètre politique. L’effet visé n’est pas l’effet effectif, parce que l’image qu’ils envoient n’est pas crainte : oui, l’injuriée est âgée face à des injurieurs qui portent déjà les prémices de ce destin hivernal commun tels que les cheveux blancs ou les petites rides du cou.
Si la folie est une manière d’échapper à la réalité, alors oui l’injuriée est une folle, consciente, qui refuse leurs calculs, leurs « egos », leurs discours usurpateurs. Leur tentative pour m’imposer un doute « traumatisant » sur moi-même, mécanisme clé des injures, rencontre la barrière du doute que j’ai en eux, barrière qui empêche les injures de « coller à la peau »*.Elles se volatilisent.
Tous trois ont un bel avenir d’injurieurs devant eux, il y aurait encore 9297 injures utilisables.
Quant aux complices, suiveurs, du MoDem, ils n’écoutent pas François Bayrou , leur chef, qui met en garde contre la servilité et la complaisance.
*Evelyne Largueche, docteur en Psychanalyse.
Annie Keszey.