Lune qui efface
s’efface dernière de mes lèvres
closes fermées
ou si la derrière des ouvertures
crême sur le drap posé
tes baisers sous l’ombre des étoiles
des nuits où se découpe la cendre aux visions
fermées tu ressors hors la dune
marchant marchant nue toute sur le sable
tu es le grain
tu es
où se pose-t-il le regard de dieu, où ?
Dans quel état se cache ton regard toi ?
où se niche l’aube sinon dans ton coeur
quand tu fermes les yeux
Tu les fermes
tu les
tu je te le dis
tu
la redite je la dois au doux et magique Lutin qui lutine.