Utilisation peu contrôlée, armes non-marquées, formation mal assurée, emprunt et échange de flingues, l’utilisation du Taser inquiète la police. « Bakchich » dévoile des documents… électrisants.
Deux ans après sa mise en service, les hiérarques de la police ont pris conscience en 2006 de la dangerosité du Pistolet à Impulsion Electrique, communément appelé Taser, comme l’a évoqué Bakchich.
Hasard de calendrier sans doute, 2006 est aussi l’année où les premières commandes publiques de Taser sont adressées à son importateur en France, SMP Technologies. Mille pour le Ministère de la Défense, 1000 pour l’Intérieur.
Mais, conscient de leur haute responsabilité et de l’impact d’une arme qui décharge 50 000 volts en 5 secondes, provoquant une « rupture du système nerveux central (sensoriel et moteur) », point question pour les pontes de la maison poulaga de laisser leurs ouailles faire joujou tranquille. la suite