Eric Zemmour ne prédit pas un avenir radieux à la "mouvance nationale" dans l'immédiat alors que, selon lui, le contexte est favorable :
"Pourtant, en Italie, aux Pays-Bas, en Belgique, les partis de la mouvance « nationale » ont le vent en poupe ; les dernières statistiques de la délinquance sont inquiétantes ; l'effondrement financier est aussi une crise de la mondialisation ; le discours sarkoziste s'éloigne souvent de sa matrice de campagne « républicaine », quand Carla Bruni-Sarkozy soutient un programme de « discrimination positive », ou quand le vote des étrangers est vanté par le fils du Président."