En décembre 2009, la communauté internationale, doit avoir finalisé, sous l’égide de l’ONU, le nouvel accord climatique qui prendra le relève du protocole de Kyoto lorsqu’il expire en 2012, ce qui suppose l’existence d’une collaboration technique et financière entre pays développés et pays émergeants, que tout oppose jusqu’à présent.
C’est dans cette perspective que 43 pays africains sont réunis dans un premier temps à Alger pour se mettre s’accord sur une déclaration commune sur le climat, mettant notamment en avant ses besoins de financement, la reconnaissance du phénomène des migrants climatiques et l’importance des forets africains dans la lutte contre l’effet de serre.
L’Algérie a invité plusieurs représentants de l’Union européenne pour discuter d’une vision commune entre les Etats africains et les 27 de l’Union européenne, de manière à arriver groupés à la négociation décisive de Copenhague.